📝 EN BREF

  • Selon les médias, de nouveaux variants du COVID-19 sont en augmentation et font l'objet d’une surveillance étroite pour suivre la propagation de la pandémie. Les gros titres dans les médias montrent clairement que nous sommes à nouveau confrontés à une campagne de peur coordonnée visant à pousser les populations vers les centres de vaccination.
  • Aux États-Unis, EG.5, surnommé Eris, est déclaré « variant d'intérêt », ce qui signifie qu'il est surveillé pour détecter des mutations qui pourraient le rendre plus dangereux.
  • Les médias australiens mettent en avant le variant BA.2.86, surnommé Pirola, tandis que les médias irlandais mettent en garde contre un variant d'Omicron surnommé « Danger réel » par les responsables de l'Organisation mondiale de la santé.
  • Cependant, aucun de ces variants ne montre de signes de dangerosité accrue par rapport aux souches Omicron précédentes.
  • Malgré la preuve que le port du masque est inutile et que les confinements furent une erreur dévastatrice qui ne devrait jamais se répéter, les lanceurs d'alerte fédéraux préviennent que ces stratégies ratées pourraient être réappliquées entre septembre et décembre 2023.

🩺Par le Dr. Mercola

Selon les médias, de nouveaux variants du COVID-19 sont en augmentation et font l'objet d’une surveillance étroite pour suivre la propagation de la pandémie. Aux États-Unis, EG.5, surnommé Eris, est déclaré « variant d'intérêt » (VdI), ce qui signifie qu'il est surveillé pour détecter des mutations qui pourraient le rendre plus dangereux.

Les médias australiens mettent en avant le variant BA.2.86, surnommé Pirola, tandis que les médias irlandais mettent en garde contre un variant d'Omicron surnommé la « Danger réel » par les responsables de l'Organisation mondiale de la santé, juste au cas où vous décideriez que le COVID n'est plus un problème.

Sept autres variants du COVID sont également surveillés par l'OMS, et trois variants supplémentaires sont déclarés VdI, ce qui nécessite une surveillance plus approfondie.

Compte tenu des nombreux variants qui se sont succédé depuis 2020, n'est-il pas curieux que les médias se concentrent à nouveau tout d'un coup sur des souches particulières de COVID, à l'approche de l'automne et de la saison grippale ?

Comme prévu précédemment, nous avons eu un court répit au cours de l'été, et à l'automne, les propos alarmistes s'intensifieront à nouveau pour pousser les populations vers les centres de vaccination où ils subiront des pressions pour recevoir non pas une mais trois injections différentes :un rappel pour le COVID, un vaccin contre la grippe et un tout nouveau vaccin accéléré contre le virus respiratoire syncytial (VRS).

Et, même s'il est prouvé que le port du masque est inutile et que le confinement fut une erreur dévastatrice qui ne devrait jamais se reproduire, ces stratégies qui ont échoué seront probablement également réappliquées. En réalité, notre seul espoir est la désobéissance massive, car les responsables ignorent à la fois la science et la loi.

Le variant Pirola est détecté dans quatre pays

Le Pirola n'est actuellement détecté qu'au Danemark, en Israël, aux États-Unis et au Royaume-Uni. En tant que « variant sous surveillance » (VSS), l'épidémiologie de Pirola est étudiée et ses caractéristiques et sa propagation sont suivies.

L’OMS a déclaré Pirola VSS en raison du nombre de mutations qu'il présente. Mais selon certains experts, on ne s'attend pas à ce qu'il se comporte différemment des autres sous-souches d'Omicron. François Balloux, Ph.D., professeur de biologie computationnelle des systèmes à l'University College de Londres, a déclaré à ABC Australie :

« BA.2.86 est la souche de SRAS-CoV-2 la plus frappante que le monde ait connue depuis l'émergence d'Omicron. Au cours des prochaines semaines, nous verrons dans quelle mesure BA.2.86 se comportera par rapport aux autres sous-variants d'Omicron.
Même dans le pire des cas, où BA.2.86 provoquerait une nouvelle vague majeure de cas, nous ne nous attendons pas à assister à des niveaux comparables de maladies graves et de décès par rapport à ceux observés au début de la pandémie, lorsque les variants Alpha, Delta ou Omicron se sont propagés.
La plupart des habitants de la planète ont désormais été vaccinés et/ou infectés par le virus. Même si les populations sont réinfectées par BA.2.86, la mémoire immunitaire permettra toujours à leur système immunitaire d'intervenir et de contrôler l'infection beaucoup plus efficacement. »

Aucune raison de s'inquiéter du sous-variant « Danger réel »

Malgré son surnom inquiétant, le variant « Danger réel » n'a infecté que trois personnes dans le monde au 18 août 2023 et, selon un laboratoire médical public du Danemark, rien n'indique que la nouvelle souche puisse provoquer une maladie grave.

Cependant, comme Pirola, cette souche est surveillée en raison de sa collection de mutations, et certains scientifiques appellent déjà au retour aux confinements et au port de masques pour « ralentir la propagation ». Pendant ce temps, des experts plus logiques soulignent que la plupart des communautés bénéficieront d'une immunité élevée contre l'exposition aux souches Omicron précédentes.

Une campagne de peur coordonnée

Un rapide coup d'œil aux derniers articles des médias grand public révèle clairement que nous sommes à nouveau confrontés à une campagne de peur coordonnée orchestrée par le gouvernement et les médias :

CBS News : « Le CDC suit le nouveau variant du COVID BA.2.86 après une souche hautement mutée signalée dans le Michigan »

NBC News : « Le CDC surveille un nouveau variant du COVID : ce qu'il faut savoir sur les cas et les conseils »

Bridge Medicines : « Nouveau variant du COVID confirmé dans le Michigan. Ce qu'il faut savoir sur BA.2.86 »

The Guardian : « Un nouveau variant du COVID suscitant l'inquiétude des scientifiques détecté à Londres »

CNBC : « Moderna affirme que le nouveau vaccin était efficace contre le variant Eris lors des premiers essais »

ABC News : « Le CDC suit la nouvelle lignée COVID BA.2.86 après sa détection aux États-Unis »

Washington Post : « Quand recevoir votre rappel contre le COVID, votre vaccin contre le VRS et votre vaccin contre la grippe cet automne »

The Times of Israël : « Un nouveau variant "très différent" du COVID-19 détecté en Israël, au Danemark et aux États-Unis »

Reuters : « Le CDC américain suit une nouvelle lignée de virus à l'origine du COVID »

New York Post : « Au milieu de la "vague estivale" d'un nouveau variant du COVID, devons-nous porter des masques ? »

Le lanceur d’alerte de la TSA prévient que les exigences en matière de masques seront à nouveau bientôt appliquées

Le 18 août 2023, Alex Jones d'InfoWars a rapporté qu'il avait été contacté par un responsable de haut niveau de la Transportation Security Administration (TSA) qui a averti que « d'ici la mi-septembre », les responsables de la TSA et les employés des aéroports devront à nouveau porter des masques.

D'ici la mi-octobre, tous les passagers des compagnies aériennes devront également porter un masque, et courant décembre, la TSA s'attend à un retour complet aux protocoles COVID de 2021. Lorsque les managers ont demandé pourquoi cela recommençait, on leur a répondu que c'était « à cause du nouveau variant au Canada ». Un autre contact fédéral avec qui Alex Jones a parlé a dit la même chose.

De même, le gouvernement américain s'approvisionne à nouveau en équipements anti-Covid-19 et recrute des consultants pour faire appliquer les « protocoles de sécurité » anti-Covid-19. Certains de ces contrats débutent en septembre et octobre 2023 et se poursuivront jusqu'en 2024 ou 2025.

Apparemment, le variant mentionné est Eris (EG.5), qui représente actuellement environ 17,3 % des nouveaux cas de COVID aux États-Unis. Mais comment peuvent-ils savoir, à la mi-août, que ce variant particulier deviendra soudainement problématique à la mi-septembre ? Évidemment, ce n'est pas possible, ce qui signifie que les prochains « protocoles de sécurité » seront à nouveau basés sur de la fiction et des inventions.

Les facteurs de risque courants d'hospitalisation et de décès

Comme l'a rapporté la Front Line COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC), Eris ne semble pas plus dangereux que les précédents variants d'Omicron, tous beaucoup moins sévères que la souche COVID d'origine. Il y a beaucoup de « cas », certes, mais peu de cas de maladie grave et d'hospitalisation. Les facteurs de risque d'hospitalisation et de décès comprennent :

  • Avoir plus de 60 ans
  • Comorbidités, notamment obésité, syndrome métabolique et fragilité
  • Traitement retardé
  • Taux élevé de D-dimère
  • Rappel récent de COVID

« La bonne nouvelle est que les conseils que nous partageons depuis le début avec la FLCCC sont toujours valables : faites ce que vous pouvez pour éviter de tomber malade et si c'est le cas, traitez-vous immédiatement. Un traitement précoce est essentiel », écrit la FLCCC.

Les signes et symptômes à surveiller

Les symptômes courants ressentis par les personnes infectées lors de la dernière vague de COVID-19 (au cours de laquelle les variants BA.4, BA.5, BQ.1.1 et XBB1 ont prédominé) comprennent :

Toux sèche

Mal de gorge

Conjonctivite (yeux rougis)

Mal de tête

Éruptions cutanées

Diarrhée

Fièvre

Malaise

Douleur musculaire

Fatigue et épuisement

Congestion nasale et douleur aux sinus

Douleur dentaire et endolorissement des gencives et des dents

Visage bouffi

Gonflement et/ou douleur au niveau de l'orbite de l'œil

Si l'un de ces symptômes apparaît, commencez immédiatement le traitement. Vous pouvez télécharger les dernières recommandations de traitement de la FLCCC ici. Comme l'a fait remarquer la FLCCC, il n'est PAS nécessaire d’attendre un test PCR confirmé, car les tests ont été développés pour des variants plus anciens et ils sont toujours de toute façon, au mieux, peu fiables.

Les stratégies de prévention

Quant à la prévention du COVID-19, de la grippe et du VRS, la FLCCC suggère :

  • Suivre leur protocole de prévention, qui comprend un bain de bouche antimicrobien, un spray nasal contenant 1 % de povidone iodée et des compléments stimulant le système immunitaire tels que la quercétine et le zinc, les vitamines C et D, la mélatonine et le sirop de sureau.
  • Jeûner de façon intermittente et équilibrer votre microbiome intestinal.
  • Réduire le stress.
  • Bien dormir. En moyenne, les adultes ont besoin de sept à neuf heures de sommeil chaque nuit.
  • Passer plus de temps en extérieur, au soleil et à l'air frais.

À propos de l'utilisation de l'ivermectine, la FLCCC commente :

« ... si vous souffrez de comorbidités importantes, si vous manquez d'immunité naturelle ou si votre système immunitaire est affaibli, vous souhaiterez peut-être essayer une dose deux fois par semaine d'ivermectine à 0,2 mg/kg.
De même, pensez-y si vous souffrez actuellement d'un COVID long ou d'un syndrome post-vaccin et si vous n'êtes actuellement pas traité par ivermectine.
Si vous devez faire face à une future situation où vous pourriez avoir une exposition élevée, telle qu'un voyage, un mariage ou une conférence, la prise quotidienne d'ivermectine en commençant deux jours avant le départ et soit quotidiennement, soit tous les deux jours pendant la période d'exposition élevée, est une approche raisonnable.
N'oubliez pas de commencer à prendre immédiatement de l'ivermectine quotidienne à dose thérapeutique (0,4 mg/kg) dès les premiers signes de tout type de syndrome viral. Il convient de le répéter : un traitement précoce est essentiel !
Surtout, ne prêtez pas attention aux discours alarmistes constants des médias grand public. Nous connaissons la routine. Nous l'avons déjà vécu. »

L'alarmisme est un outil pour favoriser l'obéissance

En effet, il est important de réaliser que les prétendues « menaces » posées par le COVID, la grippe et le VRS sont amplifiées pour une bonne raison. La crise de biosécurité doit se poursuivre indéfiniment car c'est la principale justification de la Grande Réinitialisation. À intervalles réguliers, surviennent les avertissements de Chicken Little répétant que le ciel va continuer de nous tomber sur la tête.

À un moment donné, vous devez réaliser que plus vous cédez et obéissez, plus vous devez céder et obéir. Il n'y a vraiment aucune limite à ce qu'ils peuvent et vont vous prendre, et s'accrocher à la conviction que votre gouvernement ne [remplir l'espace vide] jamais devient de jour en jour plus dangereux.

Il est également important de réaliser que votre gouvernement n'est pas le pouvoir ultime. Nos représentants gouvernementaux reçoivent également des ordres de ce que l'on appelle souvent l'État profond. Il ne s'agit pas du tout d'un gouvernement, mais d'une structure de pouvoir mondiale et cachée qui n'a de comptes à rendre à personne, tout en influençant et en manipulant tout le monde pour instaurer un nouvel ordre mondial.

Dans le passé, cette sombre cabale de puissants courtiers était désignée sous le terme de Nouvel Ordre Mondial. En 2020, le Forum économique mondial est apparu sur la scène publique et a annoncé la Grande Réinitialisation, qui n'est rien d'autre que le Nouvel Ordre Mondial rebaptisé.

Ne vous laissez pas berner deux fois

Nous ne pouvons plus nous permettre de ne pas croire jusqu'où cette cabale mondialiste peut et va aller pour prendre le contrôle. Ils nous ont déjà expliqué quel était leur plan ultime : utiliser le bioterrorisme pour prendre le contrôle des ressources, des richesses et des populations mondiales.

Tout ce que nous devons faire, c'est y croire et réaliser que la seule chose qui leur donne le pouvoir d'imposer leur volonté est notre peur. Tant que nous choisissons la peur et exigeons que notre gouvernement assure notre sécurité, il a toutes les chances de gagner.

Espérons qu'une nette majorité de gens auront désormais appris cette leçon et ne tomberont plus dans le même piège, même s'ils ont mis la barre plus haut avec une triple menace, plutôt qu'une seule. La peur est un outil utilisé pour vous contrôler, mais cela ne fonctionne que si vous y consentez.