📝 EN BREF

  • Les données de l'Agence de la santé publique du Canada montrent que seulement 40 % des enfants de moins de 12 ans sont considérés comme « complètement vaccinés » contre le COVID-19.
  • Parmi les enfants âgés de 6 mois à 4 ans, seulement 5,1 % ont reçu deux injections contre le COVID-19 et seulement 10,1 % en ont reçu une.
  • Une enquête menée auprès des parents d'enfants âgés de 6 ans et moins a révélé que 16 à 29 % des répondants appartenaient à la catégorie « hésitants à la vaccination », exprimant des doutes sur l'innocuité et l'efficacité du vaccin.
  • Seuls 39 % des parents ont déclaré accepter tous les vaccins recommandés et n'avaient aucun doute ni aucune inquiétude quant à la vaccination de leur enfant, contre 48 % en 2017.
  • Selon le rapport, 28 % des personnes interrogées ont déclaré ne pas faire confiance à l'industrie pharmaceutique, ce qui les amène à avoir des doutes sur les injections. 20 % étaient préoccupées par les vaccins infantiles parce qu'ils ne font pas confiance au gouvernement.

🩺Par le Dr. Mercola

Étant donné que la mise sur le marché des injections contre le COVID-19 fut accélérée à un rythme sans précédent, et largement recommandées aux enfants à très faible risque de COVID-19, les parents se posent plus de questions sur les vaccinations.

Une enquête préparée pour Santé Canada par Ekos Research Associates a révélé que non seulement les taux de vaccination ont diminué depuis la pandémie de COVID-19, mais que des inquiétudes généralisées existent quant à l'innocuité des injections.

À l'heure actuelle, les données de l'Agence de la santé publique du Canada montrent que seulement 40 % des enfants de moins de 12 ans sont considérés comme « complètement vaccinés » contre le COVID-19. Parmi les enfants âgés de 6 mois à 4 ans, seulement 5,1 % ont reçu deux injections contre le COVID-19 et seulement 10,1 % en ont reçu une.

Moins de parents acceptent toutes les injections pour leurs enfants

Le ralentissement de la vaccination remonte au moins à l'automne 2021, lorsqu'une étude a révélé que les taux de vaccination avaient diminué depuis le début de la pandémie de COVID-19. À cette époque, 23 % des enfants avaient manqué ou retardé une injection de routine. L'étude de Santé Canada a fait un suivi en octobre 2022, sondant 1 035 parents avec des enfants âgés de 6 ans et moins et 193 personnes enceintes ou prévoyant de devenir enceintes au cours des 12 prochains mois.

Environ 16 à 29 % des répondants appartenaient à la catégorie « hésitants face aux vaccins », exprimant des doutes sur l'innocuité et l'efficacité des vaccins. « Le problème est encore aggravé par le fait qu'une proportion importante de ceux qui acceptent tous les vaccins peuvent également avoir des inquiétudes concernant la vaccination », indique le rapport.

Seuls 39 % des parents ont déclaré qu'ils acceptaient tous les vaccins recommandés et n'avaient aucun doute ni aucune inquiétude quant à la vaccination de leur enfant, contre 48 % en 2017. De plus, 19 % ont déclaré avoir refusé ou retardé des vaccins pour leur enfant, tandis que 3 % ont déclaré qu'ils refusent tous les vaccins.

Les parents citent le manque de confiance et les problèmes de sécurité en lien avec les injections

L'enquête a révélé les principales préoccupations des parents concernant la vaccination de leurs enfants, 42 % d'entre eux se disant inquiets des effets secondaires et 29 % s'inquiétant des réactions allergiques potentielles. 29 % ont estimé que les vaccins n'avaient pas été suffisamment testés, une augmentation de près du double par rapport aux 15 % de 2017.

Les parents ont raison de s'inquiéter. Le développement des vaccinations prend souvent des années, voire des décennies. Mais les vaccins contre le COVID-19 ont été mis sur le marché à un rythme sans précédent, sans tests adéquats. Pendant ce temps, les enfants courent un risque extrêmement faible de maladie grave due au COVID-19, ce qui rend les recommandations pour les injections contre le COVID-19 et les rappels, parmi cette population, très discutables, voire ridicules.

« La recherche montre qu'il n'y a aucun avantage à ce que les enfants reçoivent une injection contre le COVID, et en fait, les injections peuvent causer des dommages potentiels, des effets indésirables et la mort. Selon les propres données des essais de l'étude de Pfizer, le risque de décès chez les enfants par injection est 107 fois plus élevé que le décès par COVID », a déclaré le Dr Robert Malone, l'inventeur de la technologie de la plate-forme de référence du vaccin à ARNm et à ADN.

Les données du CDC (Centers for Disease Control and Prevention) des États-Unis montrent également que les taux de cas de COVID-19 chez les enfants qui ont reçu deux injections contre le COVID-19 sont plus élevés que les taux chez les enfants qui n'ont pas reçu les injections 11. Un manque de confiance (à la fois envers l'industrie pharmaceutique et le gouvernement) a également été cité comme l'une des principales raisons pour lesquelles les parents réfléchissaient à deux fois à la vaccination de leurs enfants.

Selon le rapport, 28 % des personnes interrogées ont déclaré ne pas faire confiance à l'industrie pharmaceutique, ce qui les amène à avoir des doutes sur les injections. De plus, l'enquête a révélé que : « Une personne sur cinq (20 %) est préoccupée par les vaccins infantiles parce qu'elle ne fait généralement pas confiance au gouvernement ».

Ont également été cités comme sujets de préoccupation « une exigence générale pour trop de vaccins » (12 %) et la pandémie, y compris les injections contre le COVID-19 (11 %).

Le partenariat Gates-Clinton pour augmenter les vaccinations infantiles

Tandis que de plus en plus de parents se posent des questions sur la sécurité des vaccins et reconsidèrent complètement les injections contre le COVID-19, Bill Gates s'associe à la Clinton Health Access Initiative (CHAI) pour augmenter les vaccinations infantiles. L'événement est surnommé « The Big Catch-Up » et décrit comme « le plus grand effort de vaccination infantile jamais réalisé ».

L'effort mondial implique non seulement la CHAI mais aussi l'OMS, l'UNICEF, Gavi, Vaccine Alliance et la Fondation Bill & Melinda Gates, et s'étendra sur 18 mois. Selon l'OMS :

« Tout en appelant les populations et les gouvernements de chaque pays à jouer leur rôle pour aider à rattraper le retard en touchant les enfants non vaccinés, The Big Catch-up mettra un accent particulier sur les 20 pays où vivent les trois quarts des enfants qui n'ont pas été vaccinés en 2021. »

Pour le contexte, il est important de savoir que la Fondation Bill & Melinda Gates reste l'un des principaux bailleurs de fonds de l'OMS, car Bill Gates contribue via plusieurs voies, notamment la Fondation Bill & Melinda Gates, Vaccine Alliance, GAVI, le Groupe consultatif stratégique d'experts (SAGE), l' UNICEF et Rotary International.

En 2017, Politico a écrit un article très critique sur l'influence financière indue de Bill Gates sur les opérations de l'OMS, qui, selon Politico, amenait l'agence à dépenser :

« … un montant disproportionné de ses ressources sur des projets aux résultats mesurables que préfère Bill Gates… Certains défenseurs de la santé craignent que, parce que l'argent de la Fondation Gates provient d'investissements dans de grandes sociétés, il puisse servir de cheval de Troie au service des intérêts des sociétés pour saper le rôle de l'OMS dans la mise en place de normes et l'élaboration des politiques de santé. »

En effet, comme l'a fait remarquer Robert F. Kennedy Jr. dans son livre « Vax-Unvax », « l'ampleur même des contributions financières de sa fondation a fait de Bill Gates un dirigeant non officiel (bien que non élu) de l'OMS ».

Et, dans ce rôle, Bill Gates est en mesure de s'assurer que les décisions prises par l'OMS finissent par profiter à ses propres intérêts et à ceux de ses partenaires de l'industrie pharmaceutique. Il est un partisan majeur de la technologie de l'ARNm et il a beaucoup investi dans BioNTech, le développeur du vaccin contre le COVID-19 pour Pfizer. Il a depuis vendu beaucoup de ces actions, réalisant un profit de 10x.

Comme le rapporte Briahna Joy Gray, co-animatrice de The Hill, M. Gates a investi 55 millions de dollars dans BioNTech en 2019, qui vaut aujourd'hui 550 millions de dollars. Il a vendu une partie des actions à la fin 2022, tandis que le cours de l'action dépassait les 300 dollars, ce qui représente un gain énorme.

Les États-Unis ajoutent le vaccin contre le COVID au calendrier des vaccins infantiles

Le Comité consultatif sur les pratiques d'immunisation (ACIP) du CDC a voté pour ajouter les vaccins contre le COVID-19 non autorisés au calendrier de vaccination des enfants, des adolescents et des adultes aux États-Unis, ouvrant la voie aux écoles américaines pour les exiger.

Pfizer et Moderna, les fabricants du vaccin, bénéficieront également d'une indemnisation légale permanente, qui autrement aurait disparu une fois que les injections contre le COVID-19 ne seront plus protégées par l'autorisation d'utilisation d'urgence (EUA).

Cette décision est susceptible de briser la confiance restante des Américains dans le CDC, « comme il se doit », a déclaré Robert Malone. « Je suis choqué par la malversation. Je n'ai plus du tout confiance en notre système de santé publique. Il est brisé. »

Même si 60 % des parents américains s'opposent à l'ajout des vaccins contre le COVID-19 à la liste des vaccins requis par les écoles, la Californie et Washington, D.C., ont déjà annoncé que les vaccins seront obligatoires pour les élèves, et d'autres suivront certainement. Si cela se produit, la santé de beaucoup plus d'enfants pourrait être menacée par les injections expérimentales, tandis que l'industrie pharmaceutique s'en sortirait indemne.

Ron Paul l'a dit simplement lorsqu'il a parlé du CDC dans Liberty Report : « Ils ne sont pas nos amis. Ils ne sont pas les amis de la liberté. Ils ne sont pas les amis de la médecine. Ils ne sont certainement pas les amis des enfants. Mais savez-vous qui sont leurs meilleurs amis ? Les sociétés pharmaceutiques. »

Dans un clip sur le podcast de Mikhaila Peterson, partagé par Liberty Report, Robert Kennedy Jr. a également expliqué pourquoi le CDC a l'intention de faire de la vaccination contre le COVID-19 une routine pour les enfants :

« Donc, ils ne vont jamais commercialiser un vaccin, permettre aux populations d'accéder à un vaccin, un vaccin approuvé, sans obtenir de protection sur le plan de la responsabilité. Et maintenant, les vaccins avec une autorisation d'utilisation d'urgence bénéficient d'une protection de responsabilité en vertu de la loi PREP et de la loi CARES. Donc tant que... vous êtes dans une situation d'utilisation d'urgence, vous ne pouvez pas les poursuivre en justice.
Après approbation des vaccins, vous pourrez désormais les poursuivre en justice, à moins qu'ils ne puissent les faire recommander aux enfants. Parce que tous les vaccins recommandés, officiellement recommandés pour les enfants, l'obtiennent, la protection de la responsabilité. Même si un adulte reçoit ce vaccin. C'est pourquoi ils s'en prennent aux enfants. »

D'autres pays disent « non » aux vaccins contre le COVID pour les enfants

Tandis que les États-Unis continuent de recommander les vaccins contre le COVID pour les enfants, d'autres pays refusent. En janvier 2022, l'Agence suédoise de la santé a recommandé de ne pas vacciner contre le COVID-19 les enfants âgés de 5 à 11 ans, déclarant que les avantages ne l'emportent pas sur les risques. Le Danemark ne recommande plus non plus les vaccins contre le COVID-19 pour les enfants de moins de 18 ans, et en septembre 2022, l'Angleterre a annoncé qu'elle ne proposerait plus les vaccins contre le COVID-19 aux enfants à moins qu'ils ne présentent un risque élevé.

Il est difficile de voir un scénario où les risques des vaccins ne l'emporteraient pas sur les avantages, non seulement parce que le COVID-19 est généralement bénin chez les enfants, mais aussi à cause de l'efficacité lamentable des vaccins. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle une dose de rappel a été initialement approuvée pour les enfants de 5 à 11 ans.

Du 13 décembre 2021 au 24 janvier 2022, les chercheurs du Département de la santé de l'État de New York ont analysé les résultats de 852 384 enfants âgés de 12 à 17 ans et de 365 502 enfants âgés de 5 à 11 ans qui avaient reçu deux doses de vaccins. L'efficacité a rapidement diminué chez les 5 à 11 ans, passant de 68 % à seulement 12 %.

La protection contre l'hospitalisation a également chuté, passant de 100 % à 48 %. Chez les seuls enfants de 11 ans, l'efficacité du vaccin a chuté à 11 %. La réponse faible fut imputée aux écarts de dosage entre les groupes d'âge, car les 5 à 11 ans reçoivent deux injections de Pfizer de 10 microgrammes, tandis que les 12 à 17 ans reçoivent des injections de 30 microgrammes.

Une étude du CDC a également révélé que l'efficacité de deux doses de vaccins contre le COVID-19 de Pfizer contre l'infection symptomatique au COVID-19 « était modeste et diminuait rapidement » de décembre 2021 à février 2022. L'étude a révélé que deux à quatre semaines après la deuxième dose du vaccin contre le COVID-19 de Pfizer, l'efficacité était de 60,1 % chez les 5 à 11 ans. Ce chiffre est tombé à seulement 28,9 % le mois suivant.

Une tendance similaire fut observée chez les adolescents âgés de 12 à 15 ans. L'efficacité du vaccin deux à quatre semaines après la deuxième dose était de 59,5 % et elle a chuté à 16,6 % au cours du deuxième mois.

Les recommandations du CDC ont depuis été modifiées pour conseiller une injection contre le COVID-19 de rappel pour les enfants âgés de 6 ans et plus, et trois doses de vaccins contre le COVID-19 pour les enfants de 6 mois à 4 ans. Cependant, on ne sait pas si l'efficacité sera meilleure.

300 000 décès supplémentaires, des millions de blessés

Le projet 2022 Vaccine Damage Project a révélé que les injections contre le COVID-19 ont entraîné 300 000 décès supplémentaires, 26,6 millions de blessures et 1,36 million de handicaps. Les injections à base d'ARNm ont également augmenté le risque de myocardite, avec une mortalité d'environ 1 à 2 pour 200 cas. Des preuves de dommages neurologiques graves, notamment la paralysie de Bell, le syndrome de Guillain-Barré, le trouble myasthénique et les accidents vasculaires cérébraux, probablement dus à une réaction auto-immune, ont également été découvertes.

L'ajout des vaccins contre le COVID-19 au calendrier de vaccination des enfants, malgré ces risques, montre que le CDC a fermé les yeux sur la santé publique et évolue pour protéger ses amis à tout prix. Les parents doutent déjà du récit qui leur est transmis et ils prennent des mesures pour protéger leurs enfants en posant davantage de questions sur les vaccins et le calendrier des vaccinations.

Si votre État essaie de vous forcer à vacciner votre enfant, en particulier avec un vaccin contre le COVID-19, la dissidence est un moyen de riposter. Robert Malone suggère également « qu'il est temps de procéder à une refonte du CDC » et d'autres agences de santé. « Il est temps que les parents reprennent le contrôle de l'État », a-t-il dit.