EN BREF

  • Le COVID-19 est plus de deux fois plus répandu chez les multi-vaccinés en comparaison avec ceux qui ont renoncé après la série initiale. Les personnes qui ont reçu une injection primaire, plus un ou deux rappels, sont infectés à un taux de 119,94 pour 100 000, tandis que celles qui n'ont eu que l'injection primaire ne présentent qu'un taux d'infection de 56,44 pour 100 000.
  • L’essai pédiatrique de Pfizer révèle que les injections augmentent, plutôt qu’elles ne diminuent, le risque de réinfection (ce qui signifie attraper le COVID plus d’une fois). Au total, 12 des enfants de l'essai de Pfizer ont reçu un diagnostic de COVID à deux reprises au cours de la période de suivi (un à quatre mois). Parmi ceux-ci, 11 avaient reçu deux ou trois injections. Un seul enfant non vacciné a contracté le COVID à deux reprises.
  • Les données de l’essai de Moderna suggèrent également que le vaccin rend les adultes plus susceptibles de répéter les infections au COVID à cause d'une réponse inhibée des anticorps.
  • Dans l'essai pédiatrique de Pfizer, six des enfants, âgés de 2 à 4 ans, du groupe vacciné ont reçu un diagnostic de « COVID sévère », contre un seul dans le groupe placebo. Ainsi, le vaccin peut en fait provoquer une infection plus grave chez les jeunes enfants.
  • À la mi-juin 2022, Israël a connu une augmentation soudaine de 70 % du nombre de patients gravement malades du COVID. Le pic est imputé à un nouveau variant muté d'Omicron, appelé BA.5., qui serait plus résistant aux vaccins que les souches précédentes.

Par le Dr. Mercola

Croyez-le ou non, nous en sommes maintenant au point où même les médias grand public rapportent que le COVID-19 est plus répandu parmi les multi-vaccinés en comparaison à ceux qui ont renoncé après la série initiale. Cela ne signifie pas le retour de la raison. Il est juste intéressant qu'ils ne soient pas capables de l'ignorer complètement, même si leurs efforts pour la rationaliser vacillent au bord de la folie. Voici ce que CBS News a rapporté le 6 juin 2022 :

« Tandis que les cas de COVID-19 ont recommencé à s'accélérer ce printemps, les données fédérales suggèrent que le pic du taux d'infection au COVID en avril était pire chez les Américains multi-vaccinés que chez les Américains sans rappel de vaccin...
Pendant ce temps, les responsables fédéraux se préparent également à des décisions clés sur les futurs vaccins contre le COVID-19... À court terme, la directrice du CDC, le Dr Rochelle Walensky, a récemment déclaré aux journalistes que son agence était en pourparlers avec la Food and Drug Administration pour étendre l'option du deuxième rappel à davantage d'adultes. »

Si la logique du Dr Rochelle Walensky donne l'impression que votre cerveau est martelé, vous n'êtes pas seul dans ce cas. Cela se situe tellement au-delà de l'irrationnel que cela en devient inexplicable. Si les rappels vous rendent plus vulnérable aux infections, imposer des rappels à plus de personnes est-il vraiment la réponse prudente ?

Trois doses vous rendent plus sujet aux infections que deux

De façon globale, les données du nouveau tableau de bord COVID du CDC (Centers for Disease Control and Prevention) montrent que les individus attrapent le COVID avec un taux à peu près du double de celui des personnes sans rappel, une statistique que John Moore, professeur de microbiologie et d'immunologie au Weill Cornell Medical College, attribue au sentiment des multi-vaccinés « plus protégés qu'ils ne le sont réellement » et donc prenant moins de précautions.

Considérant que nous savons que les masques, la distanciation sociale et les confinements ne fonctionnent pas pour empêcher la propagation de l'infection, l'explication de John Moore est au mieux fragile. Il est beaucoup plus raisonnable de conclure que les injections contre le COVID sont le problème.

Selon le CDC, les non-vaccinés représentent toujours la majorité des tests COVID positifs, à un taux de 188,2 pour 100 000 au 23 avril 2022. Ceux qui ont eu une série primaire, plus un ou deux rappels, contractent l'infection à un taux de 119,94 pour 100 000, tandis que ceux avec la série primaire se situent à un taux de 56,44 pour 100 000.

Bien sûr, CBS prend soin de préciser que « les nouvelles données ne signifient pas que les injections de rappel augmentent en quelque sorte le risque » de COVID, mais plutôt que « le changement souligne la complexité croissante de la mesure de l'efficacité des vaccins à ce stade de la pandémie ».

CBS prétend également de manière trompeuse que si les personnes multi-vaccinées ont un taux d'infection de plus du double de celui des personnes non vaccinées, ce n'est toujours « qu'une fraction des taux parmi les personnes non vaccinées ». Cependant, 120 (119,94 arrondi) n'est guère « qu'une fraction » de 188. À 64 % du taux des non-vaccinés, l'utilisation du terme « une fraction de » semble être une tentative intentionnelle de minimiser à quel point le COVID devient fréquent chez les multi-vaccinés.

L'injection contre le COVID provoque également des réinfections répétées

Dans des infos connexes, l'essai pédiatrique de Pfizer révèle que les injections augmentent plutôt qu'elles ne diminuent le risque de réinfection (ce qui signifie attraper le COVID plus d'une fois).

Dans son article Substack, « Finally Proven: Pfizer Vaccine Causes COVID Reinfection, Disables Natural Immunity » (Enfin prouvé : le vaccin Pfizer provoque une réinfection au COVID, désactive l'immunité naturelle), Igor Chudov (un homme d'affaires et mathématicien) met le doigt sur les données en noir et blanc à la page 38 de la documentation soumise à la FDA pour leur demande d'autorisation d'utilisation en urgence de l'injection contre le COVID chez les enfants de 6 mois à 4 ans. Voici une capture d'écran avec les remarques et les notes d'Igor Chudov :

Au total, 12 des enfants de l'essai de Pfizer ont reçu un diagnostic de COVID à deux reprises au cours de la période de suivi, de un à quatre mois. Parmi ceux-ci, 11 avaient reçu deux ou trois injections. Un seul enfant du groupe placebo (non vacciné) a contracté le COVID à deux reprises.

« Alors, qu'est-ce qui a poussé les enfants vaccinés à développer un nombre disproportionné d'infections à répétition ? Le vaccin, bien sûr. C'est un essai contrôlé randomisé, après tout », écrit Igor Chudov.
« Grâce à Pfizer, nous savons enfin que les réinfections au COVID sont réelles et que leur vaccin les provoque en désactivant l'immunité naturelle. Une petite mise en garde est que Pfizer a volontairement compliqué l'essai (car il s'agit d'un essai en ÉCHEC ressuscité au cours duquel ils ont ajouté une dose de rappel supplémentaire et plus d'enfants).
Pfizer a vacciné le groupe témoin. Cette complication touche un peu la tranche d'âge de 6 à 23 mois. Cela montre tout de même un échec vaccinal évident. Le groupe des enfants de 2 à 4 ans est beaucoup moins compliqué : toutes les réinfections se sont produites chez les participants vaccinés, cinq sur six appartenaient au groupe des primo-vaccinés.
"Tous ces participants ont reçu 3 doses d'intervention d'étude assignée, à l'exception d'un participant... qui a reçu deux doses." Nous avons une preuve irréfutable que les réinfections sont soutenues par les vaccins. »

Cette anomalie de réinfection post-injection est également soulignée par le Dr Claire Craig, une pathologiste de diagnostic, qui a passé en revue certaines des données les plus accablantes de l'essai pédiatrique de Pfizer dans une vidéo récente (ci-dessous).

Les données de Moderna montrent également que des infections à répétition sont probables

Les données de l'essai de Moderna suggèrent également que le vaccin rend les adultes plus sujets aux infections à répétition, grâce à une réponse anticorps inhibée. Une étude pré-publiée sur medRxiv le 19 avril 2022 a trouvé des participants adultes à l'essai de Moderna qui ont reçu la véritable injection, puis ont contracté une infection et n'ont pas généré d'anticorps contre la nucléocapside (un composant clé du virus) aussi souvent que ceux dans le groupe placebo.

Les individus du groupe placebo ont produit des anticorps anti-nucléocapsides deux fois plus souvent que ceux qui ont reçu le vaccin Moderna, et leur réponse anti-nucléocapside était plus importante quelle que soit la charge virale. En raison de la réponse inhibée de leurs anticorps, ceux qui ont reçu le vaccin peuvent être plus sujets aux infections au COVID à répétition.

Ces résultats sont en outre corroborés par des données de l'Agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni. Elle publie les données hebdomadaires de la surveillance du vaccin contre le COVID-19, y compris les taux d'anticorps anti-nucléocapsides. Le rapport de la semaine 13, publié le 31 mars 2022, montre que les individus vaccinés contre le COVID et réinfectés présentent en effet des taux inférieurs de ces anticorps.

Les données de Pfizer n'indiquent rien sur l'utilisation chez les enfants

Une autre information cruciale que le Dr Claire Craig met en évidence dans sa vidéo est que sur les 4 526 enfants inscrits à l'essai, 3 000 ont renoncé. Pfizer ne s'explique pas sur cette anomalie hautement suspecte. Souvent, les participants à l'essai renoncent lorsque les effets secondaires sont trop importants pour qu'ils continuent.

Les sociétés pharmaceutiques excluront également parfois les participants qui développent des effets secondaires qu'elles préfèrent ne pas divulguer. C'est l'une de ces vilaines échappatoires qui peuvent fausser les résultats. Ici, nous ne savons pas pourquoi les deux tiers des participants ont été éliminés, et « sur cette seule base, cet essai doit être considéré comme nul et non avenu », déclare le Dr Claire Craig. Les données des essais pédiatriques de Pfizer montrent également que :

  • Six des enfants, âgés de 2 à 4 ans, du groupe vacciné ont reçu un diagnostic de « COVID sévère », contre un seul dans le groupe placebo. Ainsi, la probabilité que l'injection cause un COVID grave est plus élevée que la probabilité qu'il l'empêche.
  • Le seul enfant qui a dû être hospitalisé pour un COVID faisait également partie du groupe « vacciné ».
  • Dans les trois semaines suivant la première dose, 34 des enfants du groupe vacciné et 13 des enfants non vaccinés ont reçu un diagnostic de COVID. Cela signifie que le risque pour les enfants de développer des symptômes de COVID au cours des trois premières semaines suivant la première dose a en fait augmenté de 30 %. Ces données ont été ignorées.

Un écart de 8 semaines a séparé les doses 2 et 3 et le groupe vacciné a de nouveau connu des taux plus élevés de COVID. Cela a également été ignoré. Après la troisième dose, l'incidence du COVID a de nouveau augmenté dans le groupe vacciné, et cela a également été ignoré.

Au final, ils n'ont compté que trois cas de COVID dans le groupe vacciné et sept cas dans le groupe placebo. Ils ont littéralement ignoré 97 % de tous les cas de COVID survenus pendant l'essai pour conclure que les injections étaient « efficaces » pour la prévention du COVID.

Plus de preuves de l'échec du vaccin

Les preuves ne manquent vraiment pas indiquant que les injections contre le COVID sont un échec complet et doivent être arrêtées immédiatement. Un exemple que je n'ai pas examiné dans les articles précédents est la différence entre le Portugal et la Bulgarie.

Dans son article, Igor Chudov présente le graphique suivant issu de Our World in Data qui montre le taux de nouveaux cas de COVID dans ces deux pays. Le taux de vaccination au Portugal est de 95 %, alors que celui de la Bulgarie est de 30 %. Devinez quel pays a le taux de cas de COVID le plus élevé ? Le graphique parle de lui-même.

À la mi-juin 2022, le Times of Israel a également signalé une augmentation soudaine de 70 % des patients gravement malades du COVID d'une semaine à l'autre. Selon le traqueur des données COVID de Reuters, Israël a administré suffisamment de doses pour vacciner 100,4 % de sa population avec deux doses. Le pays a donc l'un des taux de vaccination les plus élevés au monde.

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« Malgré une augmentation significative des anticorps après le quatrième vaccin, cette protection n'est que partiellement efficace contre la souche Omicron relativement résistante au vaccin. ~ Professeur Gili Regev-Yochay »

À la mi-janvier 2022, Israël a signalé qu'une quatrième dose (deuxième rappel) n'était « que partiellement efficace » contre Omicron. Le chercheur principal, le professeur Gili Regev-Yochay, a déclaré aux journalistes : « Malgré une augmentation significative des anticorps après le quatrième vaccin, cette protection n'est que partiellement efficace contre la souche Omicron relativement résistante au vaccin ».

Les derniers pics en Israël et au Portugal sont attribués à un nouveau variant muté d'Omicron, appelé BA.5. Selon le Times of Israel, le tsar du coronavirus, le Dr Salman Zarka, a déclaré que « le nouveau variant BA.5 gagne rapidement du terrain et qu'il est plus résistant aux vaccins que les souches précédentes ». Alors, quelle est la réponse d'Israël ? Encore plus de vaccins pour encourager « l'immunité collective » et encore plus de port de masque.

Immunité naturelle et injection contre le COVID

Une analyse de la vague Omicron au Qatar illustre également l'échec du vaccin. Le 21 juin 2022, The Epoch Times a rendu compte de l'étude, publiée la semaine précédente dans le New England Journal of Medicine. En résumé :

  • Les personnes déjà infectées (immunité naturelle) et sans vaccin contre le COVID avaient une immunité de 50,2 % contre l'infection symptomatique BA.1 (un sous-variant d'Omicron) pendant au moins 324 jours. Contre le variant BA.2, l'immunité naturelle était de 46,1 %.
  • Les personnes sans infection antérieure (pas d'immunité naturelle) qui ont reçu deux doses du vaccin Pfizer avaient une immunité contre l'infection BA.1 allant de -16,4 % au plus bas à 5,4 % au plus haut au jour 268 après la dernière dose. La moyenne était de -4,9 %. Contre le variant BA.2, l'immunité était en moyenne de -1,1 %. La plupart figurait dans les fourchettes négatives autour du jalon des six mois.
  • L'efficacité des trois doses et sans aucune infection antérieure contre le BA.1 était de 59,6 %. Elle a persisté pendant au moins 42 jours (la durée du suivi). Contre le BA.2, l'immunité a culminé à 52,2 %.

Bien que la conclusion des auteurs était qu'il n'y avait « aucune différence perceptible de la protection » entre la vaccination et l'immunité naturelle, demandez-vous ce que vous préféreriez avoir : 50 % d'immunité pendant au moins 10 mois, ou 50 % d'immunité pendant environ 6 mois, suivi d'une risque accru d'infection (protection négative) par la suite ?

De toute évidence, si votre objectif est d'éviter l'infection, vous éviterez tout ce qui, dans l'immédiat ou à l'avenir, fera augmenter votre risque. Pourtant, dans le monde à l'envers dans lequel nous nous trouvons dorénavant, la réponse continue d'être : « Faites-vous faire une autre injection ».

Comme indiqué dans « La FDA et Pfizer savaient que les injections contre le COVID provoquaient une immunosuppression », les données de l'essai de Pfizer révèlent également qu'ils n'excluent pas le risque d'amélioration dépendante des anticorps, et la maladie augmentée associée au vaccin (VAED) est répertoriée comme un « risque potentiel important ». (ADE et VAED sont deux termes qui se réfèrent fondamentalement à la même chose, une aggravation de la maladie après l'injection.)

Ainsi, non seulement vous courez un risque accru d'infection au COVID et de réinfections à répétition si vous recevez une injection, surtout si vous êtes multi-vacciné. De surcroît, vous pouvez également souffrir d'une maladie plus grave, ce qui est à l'opposé de ce que tout le monde souhaite. Les données du gouvernement du Royaume-Uni montrent que, par rapport aux non-vaccinés, les personnes qui ont reçu deux doses sont :

  • Jusqu'à trois fois plus susceptibles de recevoir un diagnostic de COVID-19
  • Deux fois plus susceptibles d'être hospitalisés avec le COVID-19
  • Trois fois plus susceptibles de mourir du COVID-19

Dernières réflexions

En conclusion, il est clair qu'il n'y a aucun avantage à long terme aux injections contre le COVID, seulement un risque. De quelle quantité de données supplémentaires avons-nous besoin avant que nos agences de santé publique ne s'y mettent réellement et commencent à protéger la santé du public ?

Je n'ai pas de réponse à cette question, vu que rien ne fonctionne plus comme il se doit. L'industrie pharmaceutique a capturé nos agences de la santé publique qui sont devenues des voyous. Aujourd'hui, elles ignorent même les règles et l'éthique les plus élémentaires.

Quelque chose devra clairement être entrepris à ce sujet. Mais jusque-là, le meilleur conseil que j'ai à vous donner est de prendre le contrôle de votre propre santé et de prendre des décisions basées sur des données réelles plutôt que sur les communiqués de presse des sociétés.

Si vous avez déjà reçu une ou plusieurs injections contre le COVID et que vous le regrettez maintenant, tout d'abord, la mesure la plus importante que vous puissiez prendre est de renoncer aux injections. Ensuite, si vous pensez que votre santé a pu être affectée, consultez le protocole de traitement post-vaccinal de la Frontline COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC), I-RECOVER, que vous pouvez télécharger sur le site Web covid19criticalcare.com et disponible dans plusieurs langues.