EN BREF

  • Ces dernières semaines, les médias du monde entier ont commencé à mettre en avant un phénomène médical appelé « syndrome de mort subite de l'adulte », ou SADS, dans ce qui semble être un effort manifeste pour occulter la réalité des décès dus à une injection de vaccin contre le COVID. C'est la MSA « sous stéroïdes »
  • Les facteurs sous-jacents du syndrome de MSA comprennent une myocardite non diagnostiquée, des affections inflammatoires et d'autres affections qui provoquent des irrégularités dans le système électrique du cœur, déclenchant ainsi un arrêt cardiaque
  • Si le syndrome de la MSA était connu auparavant, ce qui est nouveau, c'est la prévalence de cet événement auparavant rare. En Australie, le Melbourne Baker Heart and Diabetes Institute met en place un nouveau registre SADS « pour obtenir plus d'informations » sur ce phénomène
  • Les données compilées par le Comité international olympique font état de 1 101 décès soudains chez des athlètes de moins de 35 ans entre 1966 et 2004, ce qui nous donne un taux annuel moyen de 29, tous sports confondus. Par ailleurs, rien qu'entre mars 2021 et mars 2022 (soit pour une seule année), au moins 769 athlètes ont subi un arrêt cardiaque, se sont effondrés et/ou sont morts sur un terrain, dans le monde entier
  • Parmi les athlètes de la FIFA (football) en UE, les décès soudains ont augmenté de 420 % en 2021. Historiquement, environ cinq joueurs de football sont morts en pratiquant ce sport chaque année. Entre janvier et mi-novembre 2021, 21 joueurs de la FIFA sont décédés de mort subite

Par le Dr. Mercola

Ces dernières semaines, les médias du monde entier ont commencé à mettre en avant un phénomène médical appelé « syndrome de mort subite de l'adulte », ou SADS, dans ce qui semble être un effort manifeste pour occulter la réalité des décès dus à une injection de vaccin contre le COVID.

L'acronyme anglais « SADS » signifie également « syndrome de mort subite par arrhytmie », lequel a été identifié pour la première fois en 1977. Les facteurs sous-jacents de la SADS (tant la version mort subite de l'adulte que la version arythmique) comprennent la myocardite non diagnostiquée, les affections inflammatoires et d'autres affections qui provoquent des irrégularités dans le système électrique du cœur, déclenchant ainsi un arrêt cardiaque. Si le syndrome de MSA était connu auparavant, ce qui est nouveau, c'est la prévalence de cet événement auparavant rare.

La prévalence historique du syndrome de MSA

Selon la British Heart Association, il y a environ 500 cas de syndrome de MSA au Royaume-Un chaque année.  Au Royaume-Uni, l'Office for National Statistics (ONS), en revanche, fait état de cas beaucoup moins nombreux. L'ONS recense un total de 128 cas de syndrome de MSA (toutes tranches d'âge confondues, qu'ils soient répertoriés comme cardiaques ou inconnus) en 2016, 77 cas en 2017, 70 en 2018, 107 en 2019 et 139 cas en 2020.

Bien que les données sur l'incidence du syndrome de MSA pour 2021 et 2022 soient difficiles à obtenir, l'incidence a apparemment suffisamment augmenté pour susciter des inquiétudes dans certains pays. Avant la pandémie, « SADS » était l'acronyme anglais du syndrome de mort subite par arythmie, qui était rare et sur lequel peu de recherches avaient été menées, si ce n'est qu'il représentait environ 30 % des décès cardiaques inattendus chez les jeunes.

Mais aujourd'hui, ce n'est plus rare et le syndrome de MSA est quasiment « sous stéroïdes » alors que le nombre de morts subites chez les jeunes adultes s'accumule dans le monde. Les chiffres sont si inquiétants qu'en Australie, par exemple, le Melbourne Baker Heart and Diabetes Institute met en place un nouveau registre de MSA « pour obtenir davantage d'informations » sur ce phénomène.

Selon un porte-parole, il y a environ 750 cas de syndrome de MSA par an en Australie. Aux États-Unis, le nombre moyen de décès annuels dus au syndrome de MSA serait d'environ 4 000.

Depuis la mise sur le marché des vaccins contre le COVID, les actualités sont pleines de rapports sur des personnes jeunes, en bonne santé et souvent athlétiques qui meurent « sans raison » et les médecins se disent « déconcertés » par ce phénomène. En Australie, des médecins et des scientifiques invitent même les personnes de moins de 40 ans à faire contrôler leur cœur, même si elles sont en bonne santé et en pleine forme.

D'autre part, toute personne réfléchie peut clairement voir la corrélation entre les injections, qui sont maintenant bien connues pour leur capacité à provoquer des inflammations cardiaques, et l'augmentation des morts subites chez les jeunes et les personnes en bonne santé.

Des centaines d'athlètes ont fait des malaises et sont morts après avoir été vaccinés

Chez les athlètes, l'incidence de la mort subite se situe historiquement entre 1 sur 40 000 et 1 sur 80 000. Une analyse des décès survenus chez des athlètes de compétition entre 1980 et 2006 aux États-Unis a permis de recenser un total de 1 866 cas où un athlète s'est effondré à la suite d'un arrêt cardiaque et/ou est décédé subitement. Cela représente 1 866 cas sur une période de 27 années, ce qui nous donne une moyenne annuelle de 69 cas aux États-Unis.

Les données compilées par le Comité international olympique font état de 1 101 décès soudains chez des athlètes de moins de 35 ans entre 1966 et 2004, soit un taux annuel moyen de 29 décès soudains, tous sports confondus. Entre-temps, rien qu'entre mars 2021 et mars 2022 (soit une seule année), au moins 769 athlètes ont subi un arrêt cardiaque, se sont effondrés et/ou sont morts sur un terrain, dans le monde entier.

Good Sciencing, qui fait le décompte des décès d'athlètes après un arrêt cardiaque, estime le nombre actuel d'arrêts cardiaques à 1 090 et le nombre total de décès à 715. Plusieurs dizaines d'autres sont en attente de confirmation que l'athlète a bien reçu le vaccin.

Parmi les athlètes de la FIFA (football) en UE, les décès soudains ont augmenté de 420 % en 2021. Historiquement, environ cinq joueurs de football sont morts en pratiquant ce sport chaque année. Entre janvier et mi-novembre 2021, 21 joueurs de la FIFA sont décédés de mort subite.

Les injections de vaccin contre le COVID sont clairement associées à des lésions cardiaques

Un article d'opinion paru dans la revue Frontiers in Sports and Active Living, en avril 2022, met en évidence la corrélation entre l'inflammation cardiaque induite par l'injection de vaccin contre le COVID et la mort cardiaque subite chez les athlètes :

« L'augmentation de la MSOC [mort subite d'origine cardiaque] liée au COVID semble être due, au moins en partie, à des antécédents récents d'infection et/ou de vaccination qui induisent des troubles inflammatoires et immunitaires qui endommagent le cœur.
Un mode de vie malsain qui peut inclure une mauvaise alimentation ou un surentraînement peut probablement être un facteur contributif. L'incidence apparemment accrue de myocardite et de péricardite au cours de l'étude COVID-19 et dans la période post-vaccination, ainsi que de MSOC, constitue un risque sérieux non seulement pour les athlètes mais aussi pour tous les autres et c'est une cause d'alerte.
À mesure que la population vieillit et que la popularité de la course à pied, du cyclisme et d'autres sports d'endurance augmente, la charge du risque de MSOC peut également potentiellement augmenter. Un message de santé publique fort et clair devrait mettre l'accent sur la santé et la forme physique. »

Le signal qui ne peut être réduit au silence

Dans un article du Substack du 13 juin 2022, le Dr Pierre Kory a également commenté cette dernière tentative d'expliquer les décès dus au vaccin contre le COVID :

« J'ai récemment mis en ligne une compilation de preuves profondément référencées détaillant la catastrophe humanitaire historique qui s'est lentement déroulée dans la plupart des économies de santé avancées du monde. Causée par une campagne mondiale de vaccination de masse menée par les maîtres pharmaceutiques du BMGF/OMS/CDC qui ont ciblé de manière illogique (mais rentable) un coronavirus à mutation rapide.
Ils l'ont fait avec ce qui s'est avéré être la protéine la plus toxique utilisée à des fins thérapeutiques dans l'histoire de la médecine. Dans des flacons mélangés à des nanoparticules lipidiques, du polyéthylène glycol et qui sait quoi d'autre.
J'ai cité des études et des rapports montrant une augmentation massive des décès cardiovasculaires et des handicaps neurologiques (et autres) chez les adultes en âge de travailler, à partir de 2021 seulement.
Un signal inquiétant émane des données originales des essais cliniques, des données VAERS, des données d'assurance-vie, des données d'invalidité des rapports d'arrêts cardiaques d'athlètes professionnels5 de l'augmentation des appels d'urgence pour des arrêts cardiaques chez les jeunes en âge de subir une crise cardiaque et de l'augmentation massive des maladies et des manipulations de données dans les bases de données du ministère de la Défense.
Ces événements étant de plus en plus reconnus par le citoyen moyen (et les journalistes occasionnels), une nouvelle et pathétique « campagne de désinformation » a été lancée en réponse à ces événements pour tenter de faire passer tous les décès de jeunes gens pour un simple besoin de sensibilisation à une maladie rare appelée syndrome de mort subite de l'adulte (MSA), plutôt que pour des exemples de ces légions de décès dus aux vaccins.
Les vérificateurs de faits ont également soutenu ce récit, en qualifiant de théoriciens de la conspiration quiconque pense que les vaccins sont la cause du syndrome de MSA.
Ce qui est écœurant, c'est le ton de prétendue bonne intention de ces articles, informant les gens que s'ils ont un lien de parenté avec quelqu'un de jeune qui est mort soudainement, ils devraient consulter un cardiologue pour s'assurer de ne pas avoir un ECG anormal.
Si leur ECG est normal, ils leur diront certainement de se faire vacciner, une absurdité au sommet d'une montagne d'absurdités causées par notre complexe industriel bio-médical-médiatique au cours des deux dernières années et plus. »

Les maladies « éradiquée par le COVID » font un retour en force

Les médias tentent également de faire croire que l'augmentation des autres maladies n'est pas liée au vaccin contre le COVID. « Les maladies supprimées pendant le COVID reviennent de façon nouvelle et étrange », a rapporté CNBC le 10 juin 2022.

L'article poursuit en expliquant comment des virus autres que le SRAS-CoV-2 « se manifestent de manière nouvelle et inhabituelle ». La grippe, le virus respiratoire syncytial (VRS), l'adénovirus, la tuberculose et la variole du singe ont tous « connu des pics et des comportements étranges au cours des derniers mois », note CNBC.

Aucune mention n'est faite, cependant, du fait que le vaccin contre le COVID est lié à l'immunodéficience acquise par la vaccination (baisse de la fonction immunitaire), ce qui vous rend plus vulnérable aux infections et aux maladies chroniques de toutes sortes, y compris les maladies auto-immunes.  Stephanie Seneff, chercheuse au MIT, explique les mécanismes de ce phénomène dans «Vaccins contre le COVID et maladies neurodégénératives ».

Il est également démontré que le vaccin contre le COVID active les virus latents, notamment celui de l'hépatite C, le cytomégalovirus, le virus de la varicelle et de l'herpès.  Il n'est pas surprenant que Moderna travaille actuellement sur un nouveau vaccin pour la « prévention du cytomégalovirus latent ».

Il s'agit encore une fois d'un cas où un laboratoire pharmaceutique crée un « remède » contre un problème de santé que son propre produit a créé en premier lieu. CNBC, quant à eux, citent des « experts de la santé » qui attribuent la baisse de l'immunité aux confinements pendant la pandémie de COVID, au port de masques et aux vaccinations infantiles manquées.

Les amputations de bras, de jambes, de doigts et d'orteils (conséquences de caillots sanguins post-injection) sont également considérées comme un autre problème.  Dans ce cas, les médias mettent en cause un taux de cholestérol élevé, ignorant totalement le fait que l'hypercholestérolémie est répandue depuis des décennies et que ce n'est que maintenant que les gens perdent leurs extrémités en nombre choquant.

La hausse du nombre de caillots sanguins et d'accidents vasculaires cérébraux, quant à elle, est imputée au tabagisme, à la grossesse et aux contraceptifs, même si les caillots sanguins et les accidents vasculaires cérébraux figurent parmi les effets secondaires les plus courants du vaccin contre le COVID. Le plus ridicule de tous, cependant, est l'affirmation selon laquelle un produit chimique « nouvellement découvert et hautement réactif » dans l'atmosphère terrestre est soupçonné de déclencher des maladies cardiaques.

Pour toute personne dotée d'un demi-cerveau, il est clair que les autorités gouvernementales et les médias font tout ce qu'ils peuvent pour détourner la responsabilité de ce qui est le coupable le plus évident, à savoir les injections de vaccin contre le COVID.

Toutes les maladies et affections qu'ils imputent maintenant à tout, du cholestérol aux mystérieux produits chimiques atmosphériques, sont des effets secondaires connus du vaccin. L'éléphant dans la pièce est si gigantesque qu'on ne peut même plus le contourner. Il nous pousse contre les murs.

Les rapports d'une infirmière en première ligne

Dans son article Substack du 13 juin 2022, le Dr Pierre Kory partage également les informations privilégiées d'une infirmière senior des soins intensifs et des urgences qui a souffert de lésions dues à la coagulation du sang, de saignements spontanés imparables et d'une hypertrophie des ganglions cervicaux après sa deuxième dose de vaccin Pfizer.

Elle a déposé un rapport auprès du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), qui a depuis disparu. Les numéros de lot des vaccins qu'elle a reçus étaient associés à de mauvaises réactions neurologiques et à la formation de caillots. Elle a également perdu son hématologue-oncologue à cause d'un vaccin.

Alors qu'il n'est âgé que d'une quarantaine d'années, il est maintenant trop atteint pour pratiquer. « C'était un défenseur du vaccin et dans le déni jusqu'à ce que ce soit lui qui soit le patient blessé », a-t-elle dit au Dr Pierre Kory.

Le grand hôpital de cancérologie où elle travaille a désormais des milliers de dossiers à traiter, alors qu'auparavant, le nombre moyen de dossiers se situait entre 250 et 400 par trimestre. Ils n'ont même pas assez de lits ou d'espace de perfusion pour les traiter tous, et les traitements de radiothérapie sont en retard.

Toutes sortes de cancers apparaissent (cerveau, lymphe, estomac, pancréas, sang et même les cancers des YEUX), « surtout chez les jeunes récemment vaccinés ». Les accidents vasculaires cérébraux sont également en forte augmentation chez les personnes ne présentant aucun facteur de risque ou de comorbidité. Dans un e-mail au Dr Pierre Kory, voici ce qu'elle a écrit :

« Demandez-moi n'importe quoi. Je vous raconterai ce qui se passe dans les étages et les services. Il faut que cela cesse. Ils doivent admettre la fraude et le crime et ARRÊTER. La responsabilité doit être levée, les obligations stoppées. Ils le SAVENT MAINTENANT et beaucoup LE SAVAIENT À L'ÉPOQUE.
Je ne sais pas si vous allez lire ceci, mais je vous suis tous sur Substack et Twitter, pour ceux qui ne sont pas encore bannis ! et lisez TOUTES les données. J'ai moi-même été un rat de laboratoire à cause d'un problème lié à un accident de voiture il y a quelques années, je connais le processus. La fraude est énorme. »

Dans un e-mail de suivi, l'infirmière anonyme poursuit :

« Quatre praticiens ont perdu la vie à cause des effets secondaires graves des rappels « fortement encouragés ». 2 personnes hospitalisées, dont une en soins intensifs... Tous ont entre 30 et 40 ans. Ils n'avaient pas besoin de rappels... Tous avaient déjà eu le COVID, des anticorps N entièrement mesurables. »

Les anomalies cardiaques abondent

Ses collègues de l'unité de cardiologie signalent également « de nombreuses anomalies... qui n'avaient jamais existé auparavant », notamment des thrombus massifs qui remplissent toute l'artère. Certains embaumeurs ont documenté ce phénomène inédit.  Ils ont également du mal à faire face au nombre sans précédent d'arrêts cardiaques. Selon le Dr Pierre Kory :

« Elle m'a dit... que dans certaines équipes de nuit, les équipes d'infirmières voient plus d'arrêts cardiaques en un seul service que jamais auparavant et chez des patients d'un âge plus jeune que jamais.
Dans certaines équipes, le nombre d'arrêts cardiaques est tel que les chariots de réanimation sont déplacés directement d'un arrêt à l'autre parce que les pharmacies, en particulier dans les équipes de nuit, ne sont pas en mesure de se réapprovisionner assez rapidement. Cette situation s'est produite peut-être une fois dans toute ma carrière, lorsque deux arrestations se sont produites au même étage ou dans la même unité dans un court laps de temps. »

Et si le personnel médical ne s'exprime toujours pas publiquement, la réalité de la situation semble se dessiner à l'intérieur des murs de l'hôpital, dans des conversations privées entre membres du personnel. Cependant, même là, les infirmières parlent en langage codé par peur des représailles, se référant aux lésions dues aux injections contre le COVID uniquement comme « ce problème ».

L'infirmière a souligné que, désormais, le statut de la vaccination est clairement indiqué en haut du premier écran du dossier médical du patient lorsque l'on soupçonne ou que l'on sait que la vaccination est liée au problème « mystérieux » ou « complexe » du patient. C'est peut-être un signe que la dissociation de la réalité se brise lentement. C'est tout ce que j'espère.