EN BREF

  • Depuis le déploiement des vaccins expérimentaux contre le COVID, les responsables de la santé américains affirment catégoriquement que les vaccins sont sans danger pour les femmes enceintes et leur bébé à naître.
  • Pendant ce temps, les données de Pfizer publiées sous injonction du tribunal (que la Food and Drug Administration voulait cacher pendant 75 ans) révèlent que le taux de fausses couches chez les femmes, dont la grossesse était connue, était de 87,5 %. Le taux réel peut être supérieur ou inférieur, car Pfizer n'a pas enregistré ou signalé les résultats de grossesse pour 238 des 274 femmes connues pour être enceintes au cours de l'essai.
  • Une étude parrainée par le CDC, largement utilisée pour étayer l'affirmation selon laquelle le vaccin est sans danger pendant la grossesse, a rapporté incorrectement les données. Le taux réel de fausses couches dans cet article était de 82 %.
  • Des études israéliennes ont révélé que le vaccin contre le COVID de Pfizer altère la fertilité masculine pendant trois mois après chaque injection, faisant chuter la concentration de spermatozoïdes de 15,4 % et le nombre total de motiles de 22,1 %, par rapport au taux de référence.

Par le Dr. Mercola

Depuis le déploiement des vaccins expérimentaux contre le COVID, les responsables de la santé américains affirment catégoriquement que les vaccins sont sans danger pour les femmes enceintes et ils exhortent toutes les femmes enceintes à se faire vacciner « pour se protéger et protéger leur bébé ». À ce jour, le CDC (Centers for Disease Control and Prevention) des États-Unis recommande le vaccin COVID pour :

« ... les femmes enceintes, qui allaitent, qui essaient de tomber enceintes ou qui pourraient tomber enceintes à l'avenir. »

Le CDC recommande de surcroît :

« Les personnes enceintes doivent rester à jour avec leurs vaccins contre le COVID-19, y compris avec un vaccin de rappel contre le COVID-19 lorsqu'il est temps d'en avoir un. »

Et il affirme :

« Les preuves continuent de s'accumuler, montrant que :
La vaccination contre la COVID-19 pendant la grossesse est sûre et efficace.
Il n'y a actuellement aucune preuve que des vaccins, y compris les vaccins contre le COVID-19, causent des problèmes de fertilité chez les femmes ou les hommes. »

Pendant tout ce temps, ils ont les données de Pfizer montrant que les injections provoquent des taux choquants de fausses couches qui, ajoutant l'insulte à la blessure, sont manifestement mal catégorisés comme un effet indésirable « récupéré/résolu ». Qui, sain d'esprit, considérerait la MORT comme un effet secondaire résolu à moins d'avoir un programme de dépeuplement en tête depuis le début ?

Je ne vois pas comment cela pourrait être décrit comme autre chose qu'une dissimulation criminelle. La seule raison pour laquelle nous savons tout cela est que le juge de district américain Mark Pittman a ordonné à la Food and Drug Administration de publier les documents de Pfizer à raison de 55 000 pages par mois. La FDA et Pfizer avaient demandé de publier les documents à un rythme de 500 pages par mois, ce qui signifiait qu'il faudrait 75 ans pour en divulguer la totalité.

Dissimulation criminelle

Le Dr Naomi Wolf a récemment rapporté qu'une analyse des données de Pfizer a révélé que 44 % des femmes participant à l'essai avaient subi des fausses couches. Cette statistique s'avère être le résultat d'une erreur de calcul, car Pfizer a répertorié les fausses couches dans deux colonnes distinctes, ce qui les a comptabilisées deux fois.

Nous avons constaté à plusieurs reprises que la collecte de données et les rapports de Pfizer étaient omniprésents, et apparemment de manière délibérée, afin de rendre les dangers plus difficiles à déterminer. Le Dr Naomi Wolf a admis l'erreur et a retiré le rapport original. Cependant, tandis que les vérificateurs de faits se réjouissent de la victoire perçue, il existe de nombreuses autres preuves dans la documentation de Pfizer qui démontre que ces injections devraient être interdites à jamais.

Dans un article de Substack du 20 août 2022, le Dr Pierre Kory a abordé d'autres découvertes « absolument horrifiantes » sur les fausses couches trouvées dans les masses de données de Pfizer :

« ... plongeons-nous dans une seule page parmi des milliers. Voir ci-dessous, la section 5.3.6, page 12, du document intitulé « Analyse cumulative des rapports d'événements indésirables post-autorisation. »
En regardant le premier point sous le titre : Cas de grossesse : 274 cas, dont :
Dans ce paragraphe, à première lecture, il ne s'agit que d'une liste d'événements indésirables et de chiffres, détaillés d'une manière au mieux déroutante et au pire de manière obscure. Je pense que c'est le cas avec le dernier qualificatif parce que, si vous faites quelques calculs simples en essayant d'analyser ce paragraphe, vous vous retrouvez avec ceci :
270 grossesses furent signalées chez des femmes vaccinées au cours des 12 premières semaines de la campagne de vaccination. Pour 238 d'entre elles, « aucun résultat n'a été fourni ». Ainsi, ils ne connaissaient que l'issue de 32 grossesses signalées. Que s'est-il passé avec ces 32 grossesses qu'ils ont suivies ?
Mes mains tremblent littéralement au moment où j'écris ceci, mais voilà. Pour ces 32 grossesses, il y a eu :
  • 23 avortements spontanés
  • 2 avortements spontanés avec mort intra-utérine
o   Ainsi, 25 des 32 grossesses dont l'issue est connue, se sont soldées par une fausse couche, soit un taux de 78 %. Notez que la fausse couche se produit normalement dans seulement 12 à 15 % des grossesses.
  • 2 naissances prématurées avec décès néonatal
  • 1 avortement spontané avec décès néonatal  
  • 1 résultat normal
Notez que cela ne représente que 29 résultats connus. Toutefois, ils remarquent ensuite que « deux résultats différents ont été signalés pour chaque jumeau », puis ils parlent de « cas de fœtus / bébé, distincts des cas de la mère ». Je n'ai aucune idée de la façon d'interpréter cette explication des résultats. Donc, cela fut peut-être un ou deux décès de moins (ou plus).
Ainsi, sur les 32 grossesses dont ils connaissaient l'issue, 87,5 % ont entraîné la mort du fœtus ou du nouveau-né. Enterrer ces données et ne pas alerter le monde de ce qu'ils ont trouvé est une activité criminelle... »

Pour être parfaitement clair, le fait de ne pas enregistrer ni rapporter les résultats de 238 grossesses sur 274 au cours d'un essai de médicament est tout simplement inouï. C'est scandaleusement contraire à l'éthique. Et le fait que la Food and Drug Administration et le CDC aient accepté cela et prétendent qu'il n'y a « aucune preuve » de préjudice pour les femmes enceintes et leur bébé est la preuve positive d'une malfaisance répréhensible.

Il n'y a pas de solution à ce qui s'est mal passé à la FDA et au CDC. Leur crédibilité auprès du public est ruinée au-delà de toute récupération possible. Le CDC peut procéder à un auto-examen et se réorganiser autant qu'il veut. Cela ne changera rien. Ils exhortent jusqu'à aujourd'hui les femmes enceintes à recevoir un vaccin dont ils savent qu'il causera la mort de leur bébé. Nommer cela une dystopie aux proportions épiques est un euphémisme profondément sérieux.

Une étude menée par le CDC a également tenté de masquer les données

Besoin de plus de preuves ? Que diriez-vous du fait que l'étude parrainée par le CDC publiée dans le New England Journal of Medicine (NEJM) en avril 2021 (largement utilisée pour soutenir la recommandation américaine aux femmes enceintes de se faire vacciner) a également obscurci les données pour cacher un taux de fausses couches scandaleusement élevé.

Selon cet article, le taux de fausses couches au cours des 20 premières semaines de grossesse était de 12,5 %, ce qui n'est que légèrement supérieur à la moyenne normale de 10 %. (En regardant les données statistiques, le risque de fausse couche passe d'un taux de risque moyen global de 21,3 % pour la durée de la grossesse dans son ensemble, à seulement 5 % entre les semaines 6 et 7, jusqu'à 1 % entre les semaines 14 et 20.)

Cependant, il y a un problème particulier avec ce calcul, comme l'ont souligné les Dr Ira Bernstein, Sanja Jovanovic et Deann McLeod, HBSc, de Toronto. Dans une lettre à l'éditeur du 28 mai 2021, ils ont souligné que :

« Dans le tableau 4, les auteurs rapportent un taux d'avortements spontanés à moins de 20 semaines (AS) de 12,5 % (104 avortements / 827 grossesses arrivées à terme). Cependant, ce taux doit être basé sur le nombre de femmes qui étaient à risque d'AS en raison de la dose de vaccin et doit exclure les 700 femmes vaccinées au cours de leur troisième trimestre (104/127 = 82 %). »

En d'autres termes, lorsque vous excluez les femmes qui ont reçu le vaccin au cours de leur troisième trimestre (puisque le troisième trimestre est après la semaine 20 et ne doit donc pas être pris en compte lors de la détermination du taux de fausse couche parmi celles vaccinées avant la semaine 20), le taux de fausse couche est de 82 %. (Les erreurs dans cet article du NEJM furent également examinées dans un article paru dans Science, Public Health Policy and the Law, publié en novembre 2021.)

Sur ces 104 fausses couches, 96 d'entre elles se sont produites avant 13 semaines de gestation, ce qui suggère fortement que se faire vacciner contre le COVID au cours du premier trimestre est la recette absolue pour un désastre. Donc, voici encore une autre tentative pour cacher le fait que plus de 8 grossesses sur 10 peuvent être interrompues suite à une injection.

Au 12 août 2022, la base de données américaine Vaccine Adverse Event Reporting (VAERS) répertoriait 4 941 fausses couches post-COVID. À titre de comparaison, les rapports de décès fœtaux pour tous les autres vaccins signalés dans la VAERS au cours des 30 dernières années sont de 2 239.

Les taux de natalité chutent soudainement dans le monde

En plus des fausses couches, nous examinons également la chute brutale des taux de natalité, ce qui suggère que les injections contre le COVID ont également un impact négatif sur la fertilité future.

« Ces chutes sont importantes, et elles surviennent, précises presque comme avec une horloge, environ 9 mois après que les femmes enceintes du monde entier ont commencé à être vaccinées », remarque le Dr Pierre Kory.

Par exemple, l'Allemagne a récemment publié des données montrant une baisse de 10 % du taux de natalité au cours du premier trimestre de 2022.

Le graphique du taux de natalité vivante pour la Suède est à peu près le même, avec une baisse de 14 % : selon Gunnar Anderson, un professeur suédois de démographie à l'Université de Stockholm, « nous n'avons jamais rien vu de tel auparavant, que le taux chute en seulement un trimestre ».

Entre janvier et avril 2022, le taux de natalité de la Suisse était inférieur de 15 % aux attentes, celui du Royaume-Uni de 10 % et celui de Taïwan de 23 %. En Hongrie, la députée Dúró Dóra s'est dit préoccupée par une baisse de 20 % du taux de natalité en janvier 2022, par rapport à janvier 2021.

Les États-Unis montrent également des signes de baisse des naissances viables. Les données provisoires du Dakota du Nord montrent une baisse de 10 % en février 2022, une baisse de 13 % en mars et une baisse de 11 % en avril, par rapport aux mois correspondants en 2021.

Dans un article de Counter Signal du 5 juillet 2022, Mike Campbell a rapporté que dans les cinq pays où l'utilisation du vaccin contre le COVID est la plus élevée, la fécondité a chuté en moyenne de 15,2 %, alors que les cinq pays où l'utilisation du vaccin contre le COVID est la plus faible ont connu une baisse moyenne de seulement 4,66 %. Vous trouverez ci-dessous un graphique de Birth Gauge sur Twitter comparant les données sur les naissances vivantes pour 2021 et 2022 dans un grand nombre de pays.

De nombreuses femmes signalent des irrégularités menstruelles après l'injection

Les taux élevés d'irrégularités menstruelles post-injection sont également un signe avant-coureur que la capacité de reproduction peut être affectée. Au 12 août 2022, 31 443 rapports de troubles menstruels ont été signalés sur le système VAERS.

Les changements incluent des règles plus abondantes et plus douloureuses et des modifications dans la durée des menstruations, ainsi que des saignements intermenstruels inattendus ou des pertes de sang chez les femmes sous contraception à longue durée d'action ou chez celles qui sont ménopausées et n'ont pas eu de règles depuis des années, voire des décennies.

Les responsables de la santé ont essayé d'ignorer les rapports, mais une étude publiée dans Obstetrics & Gynecology (et financée par le National Institute of Child Health and Human Development (NICHD) et le National Institutes of Health (NIH) Office of Research on Women's Health) a confirmé une association entre la durée du cycle menstruel et les injections contre le COVID-19.

Selon les auteurs, il est possible que la réponse immunitaire créée par les injections d'ARNm affecte l'axe hypothalamo-hypophyso-ovarien qui joue un rôle bien connu dans la synchronisation du cycle d'une femme :

« Nos découvertes chez les personnes ayant reçu deux doses au cours d'un même cycle étayent cette hypothèse. Compte tenu du calendrier posologique des vaccins à ARNm contre le COVID-19 aux États-Unis (21 jours pour Pfizer et 28 jours pour Moderna), un individu recevant deux doses en un seul cycle aurait reçu la première dose au début de la phase folliculaire.
La variabilité de la durée du cycle résulte d'événements conduisant au recrutement et à la maturation du follicule dominant au cours de la phase folliculaire... »

D'autres preuves troublantes

Une étude japonaise de biodistribution pour le vaccin de Pfizer a également montré que la protéine Spike du COVID issue des injections s'accumule dans les ovaires féminins et les testicules masculins, et il y a une inquiétude crédible que les injections contre le COVID réagissent de manière croisée avec la syncytine (une protéine d'enveloppe rétrovirale) et les gènes reproducteurs dans le sperme, les ovules et le placenta d'une manière qui peut nuire à la fertilité et aux résultats de la reproduction.

Une étude menée par Pfizer-BioNTech sur des rats a révélé que l'injection faisait plus que doubler l'incidence de la perte préimplantatoire (c'est-à-dire, le risque d'infertilité) et entraînait des malformations de la bouche / mâchoire, un laparoschisis (une anomalie congénitale de la paroi abdominale) et des anomalies de l'arc aortique droit et des vertèbres cervicales. Comme The Exposé le fait remarquer :

« Dans ce cas, comment diable les régulateurs de la médecine du monde entier ont-ils réussi à déclarer dans leurs directives officielles que "les études sur les animaux n'indiquent pas d'effets nocifs directs ou indirects sur la grossesse" ? Et comment en sont-ils arrivés à affirmer "On ne sait pas si le vaccin Pfizer a un impact sur la fertilité" ?
La vérité est qu'ils ont activement choisi de le dissimuler. Nous le savons grâce à une demande d'accès à l'information (DAI) adressée au Département de l'administration des produits thérapeutiques du ministère australien de la santé. »

Vous pouvez en savoir plus à ce sujet dans l'article du 19 juillet 2022 paru dans The Exposé, « FOIA Reveals Pfizer & Medicine Regulators Hid Dangers of COVID Vaccination During Pregnancy After Study Found It Increases Risk of Birth Defects & Infertility ».

Nous assistons également à une augmentation soudaine de la mortalité infantile. The Exposé a mis en avant des données issues d'Écosse, montrant que les décès néonatals étaient supérieurs de 119 % à la norme annuelle en mars 2022.

L'injection contre le COVID affecte également la fertilité masculine

La fertilité masculine est également menacée par ces armes biologiques. Une étude israélienne publiée dans la revue Andrology a révélé que le vaccin de Pfizer contre le COVID altère temporairement mais significativement la fertilité masculine, faisant chuter la concentration de spermatozoïdes de 15,4 % et le nombre total de motiles de 22,1 %, par rapport au taux de référence pré-injection.

La récupération des deux est finalement survenue, environ trois mois après la dernière injection. Mais si vous détruisez le sperme d'un homme pendant trois mois à chaque fois qu'il reçoit une injection contre le COVID, vous réduisez considérablement la probabilité qu'il engendre un enfant pendant une bonne partie d'une année donnée et les statistiques examinées ci-dessus le confirment.

N'oubliez pas que les injections d'ARNm sont recommandées à des intervalles de trois mois pour la première série, et les rappels sont désormais recommandés à des intervalles variables par la suite. Dans la vidéo ci-dessus, Amy Kelly, directrice de projet pour l'équipe d'analyse des documents Pfizer de Daily Clout, passe en revue cette étude et d'autres problèmes de fertilité masculine post-injection.